terme de maçonnerie

Vous vous êtes retrouvé dans un chantier ou une réunion de chantier et vous avez eu du mal avec certain termes en relation avec la maçonnerie, cet article et pour vous

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Directement sur le sol, en parlant d’une construction.

À proximité du bâtiment que l’on construit.
Il tire la pierre à pied d’œuvre.
Le moellon se trouve à pied d’œuvre.
Amener des matériaux à pied d’œuvre.

Érosion causée par attrition (frottement) venant des matériaux de toutes tailles transportés par les eaux et les glaces.
Les torrents et les glaciers forment les paysages montagneux grâce à une abrasion efficace et constante.
Le maçon a effectué une longue abrasion de la pierre pour la rendre lisse.

Entaille verticale en V inversé, pratiquée dans la face de joint d’une pierre taillée qui permet de couler le coulis de mortier entre deux faces de joint et une meilleure accroche du mortier.

Dresser la première banche d’un coffrage, avant de procéder à la mise en place des ferrailles.

Bloc d’aggloméré de béton.

Brique, bloc de béton ou parpaing fabriqué par un mélange de matières diverses (sables, cailloux, scories, déchets végétaux, bois, liège, paille, etc.) agrégé avec un liant (colle, ciment, résine…) et comprimé.
En maçonnerie on désigne les parpaings par le terme d’agglomérés ou plus souvent par la forme abrégée « agglo ».

Formation de cavités en surface d’une pierre de parement.

Réduire l’épaisseur d’une pièce de bois ou d’une pierre pour l’ajuster à la place qu’elle doit occuper.

Dimension et disposition des pierres ou des briques d’un bâtiment.
Or, cette surélévation est construite en pierres avec bossages, les créneaux sont plus espacés, l’appareil beaucoup plus soigné que dans la partie inférieure et parfaitement semblable, en tout, à l’appareil des constructions de 1280

Action d’appareiller des pierres, des briques ou des dalles. Motifs formés par les pierres, briques ou dalles et résultant de cette action.
Un opus romain, un dallage à l’anglaise ou à l’antique, un opus incertum sont des types d’appareillages assez fréquents pour la réalisation de dallages réguliers.

Appareil de briques dont les assises sont composées d’une alternance de boutisses et de panneresses.

Appareil de briques composé d’une alternance d’assises de boutisses et d’assises de panneresses.

Appareil de briques constitué de trois à cinq assises en panneresses consécutifs et d’une assise en boutisses.

Appareil de briques dont les assises sont composées d’une alternance de boutisses et de panneresses.

Appareil de briques donc chaque assise comporte une succession d’une boutisse et deux panneresses.

Appareil de briques dont parements ne comportent que des boutisses à joints croisés.

Appareil de briques sur chant à lame d’air.

Appareil de briques composé d’une alternance d’assises de boutisses et d’assises de panneresses.

Appareil de briques composé d’une alternance d’assises de boutisses et d’assises de panneresses.

Appareil de briques dont les assises sont composées d’une alternance de boutisses et de panneresses.

Appareil de briques composé d’une alternance d’assises de boutisses et d’assises de panneresses.

La partie d’une fenêtre, d’une balustrade, etc., sur laquelle on peut s’appuyer.
L’ensemble du linteau, de deux poteaux d’huisserie et de l’appui E, constitue l’huisserie d’une porte ou d’une fenêtre.

Appui destiné à supporter la traverse basse du dormant de la fenêtre tout en évacuant l’eau de la baie à l’extérieur sans ruisseler sur la façade.

Niveau supérieur d’un ouvrage de maçonnerie servant de base pour la suite de la construction.
Hauteur atteinte par la tête des pieux d’une fondation, après que ceux-ci ont été recépés.
Partie supérieure d’un terrassement, avant les dernières opérations de nivellement.

Action d’araser.

Mettre de niveau un mur, un bâtiment, en élevant les parties basses à la hauteur de celle qui est la plus élevée.

Matériaux placés dans les inégalités pour araser.
Pierres d’arases.

Base d’une muraille.
Les ouvriers sont à la première, à la seconde assise.
Chaque assise a tant de centimètres de haut.
Assises réglées, se dit lorsque tous les rangs de pierres de la même construction sont d’une égale hauteur elles peuvent l’être sur la longueur comme sur la hauteur.
Assises de retraite, premier rang de pierres qui forme l’empattement d’un mur à rez-de-chaussée. Rang de pierres qui forme empattement ou retraite sous un mur à la retombée d’une voûte sous un pilier, une pile.
Assises de retombée: Cours d’assises à la naissance d’une voûte.
Assises d’extrados: Assises remplissant les reins d’une voûte.
Assise circulaire: Assise dont le plan est une circonférence de cercle.
Assises en besace: Pierres formant encoignures et posées en travers les unes avec les autres.
Assise boutisse ou jambe boutisse: Pilier dont la queue des assises est engagée dans un mur mitoyen ou de refend, de sorte que les deux parements sont en joints et qu’un des joints fait parement.
Assise de bahu ou Bahu: Dernière assise d’un mur de parapet de pont ou de mur de quai qui est taillé en bahu.
Assise de corbeau ou Corbeau: Assise en saillie taillée en console qui a plus on moins de hauteur et qui sert à porter la poutre ou la sablière d’un plancher.
Assise en encorbellement ou encorbellement: Saillie qui porte à faux au nu d’un mur formée par une ou plusieurs pierres posées l’une sur l’autre et plus saillantes les unes que les autres.
Assises de parpaing: assises qui traversent l’épaisseur d’un mur et qui sont à deux parements comme sont généralement toutes les assises des murs de face des murs d’échiffre ainsi que les pierres sous les cloisons, les pans de bois, etc.
Assises de revêtement: Assises qui n’ont qu’un parement ; telles sont celles des murs de quai.

Vaisseau de bois ou de plastique, dans lequel les maçons délaient leur plâtre ou leur ciment.
Ces objets, que Montreval avait fait apporter, c’était une auge pleine de ciment tout délayé, des truelles, des briques.

Qualifie un mortier ou un béton, fluide avant la prise, dont la mise en place donne une surface de chape parfaitement lisse.
Ce coffrage est rempli de mortier autolissant et autonivelant et peut recevoir tous les revêtements classiques de sols.
La Chape Liquide de Lafarge est un mortier prêt- à-l’emploi (chape autolissante et autonivelante) à base de sulfate de calcium (anhydrite) pour la réalisation de chape de sol flottante ou désolidarisée destinée à recevoir tous types de revêtements.

Qualifie un mortier ou un béton, fluide avant la prise, dont la mise en place donne une surface de chape parfaitement horizontale.
Ce coffrage est rempli de mortier autolissant et autonivelant et peut recevoir tous les revêtements classiques de sols.
La Chape Liquide de Lafarge est un mortier prêt-à-l’emploi (chape autolissante et autonivelante) à base de sulfate de calcium (anhydrite) pour la réalisation de chape de sol flottante ou désolidarisée destinée à recevoir tous types de revêtements.

Qualifie un mortier ou un béton, fluide avant la prise, dont la mise en place se fait par gravité sans qu’il fût nécessaire de recourir à la vibration.
Pour les bétons très fluides, on mesure le diamètre moyen (étalement) de la « flaque » de béton. Les bétons autoplaçants ont généralement un affaissement supérieur à 25 cm, et un étalement compris entre 60 et 70 cm (…).
Le recours au béton autoplaçant a permis de diminuer les épaisseurs des dalles et refends et d’accentuer leur netteté, leur aspect tranchant et radical.
Une chape anhydride est ensuite mise en œuvre à la pompe ; une technique bien adaptée à un tel chantier : – autoplaçante et autolissante, elle assure une finition parfaite et rapide

Lattis de plafond destiné à être enduit de plâtre, souvent fait de petits bois, voire de bambous, assemblés entre eux par du fil de fer très fin.
Les anciens plafonds sont formés de fines lames de bois non jointives (bacula) noyées dans le plâtre. Sensible aux variations de température et à l’humidité, cette armature de bois travaille beaucoup : des fissu­res difficiles à stabiliser apparaissent. — (Un plafond en plaques de plâtre, sur www.systemed.fr, 2012.)
Le bacula fut largement utilisé jusqu’à l’invention des plaques de plâtre, mais l’impact environnemental de ces dernières et les émissions polluantes des produits de collage du carton repose la question des techniques de plâtre projeté sur une structure, bois anciennement, ou en résille aluminium le plus souvent aujourd’hui.

Mur bas qui porte une arcature à jour, une grille, ou qui surélève un comble pour faciliter l’écoulement des eaux de pluie.
Les intervalles entre les corbeaux seront garnis de maçonnerie masquée par des plaques de faïence. Puis viendra le bahut portant le comble et les lucarnes, dont l’appareil est tracé dans notre planche. Les arcades du rez-de-chaussée faisant butée nous permettront de voûter cet étage en béton ou en brique creuse

Scie à pierre tendre, très étroite, souple et flexible, permettant de suivre aisément un tracé courbe donné par un panneau ou de passer aisément entre 2 tracés.

Suite, rangée de plusieurs balustres portant une tablette d’appui et servant d’ornement ou de clôture.
[…], et le chat gris, un peu sauvage, nous regardait de loin, à travers la balustrade de l’escalier au fond, sans oser descendre.
Un énorme figuier faisait retomber comme un tapis par-dessus la balustrade ses branches cachées par les feuilles plates et ses fruits poudrés de lilas.
Durtal aboutissait à une terrasse dominant la ville et il s’accoudait à une balustrade de pierre grise, sèche, trouée […].

Coulage d’un mur en béton de ciment dans un élément de coffrage appelé banche.
Mise en place de banches.
Le système favorise des gains de temps sur les chantiers, tout en supprimant les défauts des techniques de banchage.

Élément de coffrage dont la peau peut être en bois, composite, ou métal, servant à réaliser des murs (ou voiles) en béton armé et aussi en pisé.
Les coffrages sont particulièrement soignés et calepinés (banches et écarteurs) pour obtenir une finition parfaitement lisse.

Enduit de ciment délayé servant à parfaire l’assemblage entre deux coulées de béton ou entre deux couches d’enduits, à assurer le collage de carrelage, ou à parfaire les joints.
Afin d’obtenir un résultat optimum, répandez sur le mortier une barbotine de ciment pur ainsi qu’au dos des carreaux. Ce double barbotinage est obligatoire pour les carreaux de surface égale ou supérieure à 900 cm2 ou de porosité très faible (inférieure à 0,5%).

Pièce d’eau, ordinairement bordée de pierre ou de marbre.
Soudain, au bord du bassin, nous vîmes un petit chat qui buvait. Nous nous dissimulâmes derrière une touffe de seringas.
Elle se redressa, longea le bassin qui se dressait au milieu du jardin, prit de l’eau dans ses mains et la porta à ses yeux pour cacher les traces de ses larmes.

Plafond de terre grasse et de bourre.
Le plafond, soutenu par des poutrelles, se compose d’une couche de mousse maintenue par des lattes et recouverte en dessus et en dessous d’une couche de batifodage; le tout présentant une épaisseur de 0m,33.

Construction close faite pour loger des hommes ou des animaux, ou pour abriter des denrées, des récoltes, pour servir à des industries, à des services publics, etc.
Le dirigeable ne s’éloignait pas des alentours du bâtiment de Park Row, où s’était assemblée la municipalité, […]. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, p. 231 de l’éd. de 1921)
Les bâtiments de cette entreprise sont tous neufs.
Un bâtiment particulier doit être simple et commode.
Cette industrie a exigé la construction de vastes bâtiments.

Masse de fer emmanchée, pour casser les pierres.
Les pionniers rempliront et répareront les ornières, à mesure qu’il s’en formera, avec de la pierraille ou du bon gravier ; ils auront soin de ne jamais se servir de sable, ni de pierres plus grosses que des œufs, sans les avoir cassées avec le batterand.

Truelle utilisée pour dégrossir et couper les enduits.
Utilisé pur, sans être mêlé à la chaux ou au sable, l’enduit est alors appliqué avec une berthelée – petite truelle pour racler ou couper – sur une épaisseur de 3 à 5 centimètres. En conservant au maximum l’enduit existant, les maçons posent le matériau en deux étapes. La première couche, le renformis, est épaisse, appliquée tel un mortier pour rendre la surface plane. La seconde est lissée et mettra plusieurs mois à sécher.

Matériau de construction fabriqué grâce à un mélange d’agrégats divers (gravier, sable, etc.), d’un liant (argile, bitume, chaux, ciment) et éventuellement d’eau.
La plupart des portes et fenêtres des tours du château, du côté de la cour, sont couronnées par des linteaux en béton. Ces pierres factices ont beaucoup mieux résisté aux agents atmosphériques que les pierres de grès ; elles sont composées d’un mortier parfaitement dur, mêlé de cailloux concassés de la grosseur d’un œuf, et ont dû être façonnées dans des caisses de bois. […], j’ai retrouvé une assez grande quantité de ces blocs de béton dans les restaurations extérieures des murailles des Visigoths entreprises au XIIe siècle.

Variante de bétonnière. Note : Le mot est parfois considéré comme impropre ; il est préférable d’utiliser bétonnière.

Machine utilisée pour fabriquer le béton qui comprend une cuve tournante pour le malaxer.
Cette pratique n’est pas acceptable car elle sous entend que les gâchées seront réhomogénéisées dans la bétonnière portée (une gâchée sèche pouvant compenser une gâchée humide), ce qui est tout à fait aléatoire. — (Yves Charonat, Fabrication du béton hydraulique, Ed. Techniques Ingénieur (notice C 2-225), p.38)
Les appels d’offres ont été passés, des fouilles ont d’ores et déjà débuté. Faites chauffer les bétonnières !

Type de béton plus résistant.

Enduit bicouche, sorte d’enduit appliqué en deux couches.

Assemblage de deux longues pièces de bois dressées et unies par le haut, où se trouve une poulie.

Chariot à quatre roues d’égale hauteur, où les chevaux sont attelés deux à deux, avec un plancher sur lequel les maçons mettaient de grands fardeaux.

Couleur ou matière blanche que les peintres, les maçons, etc., emploient pour rendre une surface blanche.
Blanc de plomb (sous-carbonate de plomb), de zinc (oxyde de zinc), de céruse, de lait, de perles.
Nuance du blanc semblable à celle du lait, des perles.
Broyer, peindre du blanc.
Une couche de blanc.
Blanc sale : couleur blanche dont l’apparence est terne, sans éclat.
Cette étoffe, ce papier sont d’un blanc sale.
Mets au blanc : mets accommodé à une sauce blanche.
Un plat de cardons, des laitues, un poulet au blanc.

Béton de gravier, de sable et de chaux.
Mais la plupart des François, au lieu de ces vaisseaux en bois peu solides, préférèrent de construire en briques, en bletton, ou en pierres de taille, de vraies citernes, bien autrement durables.

Élément de maçonnerie en béton moulé, généralement parpaing.

Ensemble de petites pierres destinées à remplir les vides entres les grosses pierres.
On utilise des blocages pour remplir le vide laisser entre deux parement de pierre.

Matériau formé de débris de briques et de moellons, de petites pierres.
Venons aux digues en blocaille. […] Les digues en blocaille usitées sur la Durance & dans autres rivières de la ci-devant Provence, ne sont autre chose qu’un simple mur, plus ou moins épais, construit sur le gravier, dont le parement a très-peu de retraite & dont la base est défendue par une berme.

Petit bossage laissé dans un parement pour indiquer qu’il n’est pas métré.

Rouleau à aspérités pour donner à une surface de ciment, d’asphalte, un aspect pointillé.
Boucharde de maçon, de cimentier.

Désordre latéral pernicieux découlant d’une poussée latérale continue sur un mur, bombant ce-dernier et pouvant mettre l’ouvrage en péril.

Désordre latéral qui se produit petit à petit sur un mur ou celui-ci se bombe sur son élévation à cause du bouclement.

Gonfler, en parlant de plâtre et pousser en dehors, en parlant d’un mur.

Trous laissés dans un mur en construction par les pièces de bois de soutien d’un échafaudage.
Pièce de bois utilisée pour le montage des échafaudages.
Les trous laissés par les boulins sont appelés trous de boulin.
La tour conserve de nombreux boulins d’échafaudage, encore engagés dans l’épaisseur des maçonneries. Leurs extrémités sont quelques fois visibles dans le parement externe des murs. Il s’agit de boulins en bois résineux, de section circulaire (diamètre de 10 à 15 cm), habituellement pourvus de leur écorce.

Civière, tourniquet dont se servent les couvreurs, les maçons, etc.

Surface tendre des pierres qui sortent de carrière.
Cela ne provient pas que du mauvais choix qu’on a fait des dites pierres et de la négligence qu’on a eue d’en ôter le bouzin.

Bord le plus court d’une plaque, d’une tôle, d’une planche ; et plus généralement, face étroite d’un objet pris dans sa largeur, par opposition au plat et au chant.

Pierre taillée ou brique qu’on place dans un mur suivant sa longueur, de manière à ne montrer que le petit bout en parement.

Espèce de cordage dont on se sert pour suspendre au câble les pierres, les baquets à mortier, les bourriquets à moellons, etc. Le brayeur désigne un fort manœuvre chargé de brayer la pierre, c’est-à-dire de passer les brayers sous la pierre et de les fixer dans le crochet ou esse du câble qui doit la monter.

Bloc de pierre artificielle fabriqué avec de la terre argileuse pétrie, moulée, séchée, cuite, et dont on se sert comme matériau de construction.

Outil utilisé par les maçons pour casser les matériaux. Outil en forme de burin dont la tige est pointue.

Petit tombereau à une roue (plus rarement deux), permettant de transporter des charges lourdes sur des chantiers ou dans un jardin et qu’on pousse d’ordinaire devant soi.

Action d’enlever une partie de pierre faisant saillie.

Enlever à un bloc ou une surface de pierre ce qui fait saillie.

Outil de maçon ou de mécanicien, à lame plate, que l’on frappe avec un maillet ou un marteau.
Un burin, c’est un ciseau grossier.
La pointerolle du maçon se distingue du burin par son extrémité pointue et non plate.
L’outillage du mineur (burin, coin, pointerolle, pic, masse) devait être entretenu quotidiennement pour conserver son efficacité.

Moellon, parpaing, agglo, petit bloc de béton rectangulaire faisant toute la largeur d’un mur.
Pierre servant à faire les bords d’une chaudière de savonnier.
Pierre tendre servant en maçonnerie pour bâtir des murs

Dessin qui reproduit, à une échelle déterminée, la façade ou la partie de l’édifice à bâtir.

Pierre creusée dans le milieu pour faire écouler l’eau.
Un rat courut d’un trottoir à l’autre, et disparut par un caniveau.

Pierre à bâtir dont la face de parement est plus importante que les autres faces, par opposition à la boutisse et à la panneresse.
Montage des murs : Alternance des carreaux et boutisses. Les boutisses servent d’agrafes. Des boutisses (pierres longues) ou parpaings (pierres traversant le mur) assurent la liaison parement / remplissage.

Nom donné par les maçons au divers cordages dont ils se servent.

Menu cordage pour les échafaudages.

Espèce de pilier de pierre de taille qui entre dans la construction d’un mur et qui sert à le fortifier ou à le lier.

Bord le plus long d’une tôle, d’une plaque, d’une planche ; et plus généralement, face étroite d’un objet pris dans sa longueur, par opposition à la face la plus large qui en forme le plat et la plus petite face qui en est le bout.
Poser sur le chant.
Une vitre se transporte à chant.

Brique de demi-épaisseur utilisée en parement ou pour garnir le foyer des cheminées à feu ouvert.

Couche de mortier que l’on étale avant de poser le pavé.

Petite plaque de métal percée d’un trou par où passe le fil à plomb des maçons.

Crépi, revêtement de maçonnerie, enveloppe de mortier, etc.

Grosse cheville utilisée en maçonnerie pour bloquer des planches servant de coffrage.

Mélange de briques pulvérisées et de chaux dont on faisait un mortier.
Si un édifice se renverse, n’essayez pas de le maintenir debout en jetant sur les murs une couche de ciment, mais empêchez-le de s’écrouler en renforçant la base.
Liant à prise hydraulique, destiné à la fabrication du béton hydraulique.
L’utilisation des additions minérales dans les bétons en remplacement au ciment est une pratique courante depuis de nombreuses années.

Ouvrage temporaire de charpente sur lequel on bâtit les arcs, les voûtes, les coupoles.
Mettre sur cintres. Lever les cintres. Ôter le cintre.

Action d’appliquer, par jets, du mortier.

Cloison légère et décorative constituée d’éléments non jointifs ou évidés. Son usage est plus fréquent au jardin qu’en intérieur.

Claveau situé au milieu d’une voûte et servant à maintenir les autres pierres.

Calcaire grossier utilisé comme pierre à bâtir.

Espèce de petit mur peu épais servant à la distribution d’un appartement ou d’un bâtiment quelconque.

Enceinte qui peut être constituée de murs, de haies, de barrières, etc.

Type de béton utilisé anciennement, composé de gros granulats secs dans lesquels est injecté du colgrout, mortier colloïdal à base d’eau, de ciment et de sable très fin.

Mortier colloïdal à base d’eau, de ciment et de sable très fin en suspension, brassé énergiquement, utilisé pour la fabrication du colcrete.

Pilier de maçonnerie ou de pierre, saillant hors le nu d’un mur de revêtement pour soutenir la poussée des terres.

Pierre, pièce de bois ou de métal, façonnée en console, moindre en hauteur qu’en saillie, encastrée dans la maçonnerie et placée en saillie du nu d’un mur, servant à supporter une charge (poutre, corniche, balcon, etc.).

Petite corde dont se servent les maçons, les jardiniers, les charpentiers pour tracer des lignes droites, pour aligner.
Tracer une ligne droite avec un cordeau frotté de craie.
Des allées tirées au cordeau.
Aligner une muraille au cordeau.
Les Anglais ont tiré au cordeau les lignes conventionnelles qui séparent ces grandes provinces.

Dimension indiquée sur le plan d’une pièce.

Synonyme de fenton.(Sorte de ferrure qui sert à divers usages et principalement à lier le chambranle d’une cheminée avec le reste de la maçonnerie.)
Tige de fer servant d’armature à un ouvrage en plâtre.

Petit canal qui, placé sous les appuis de croisée, sert à l’écoulement des eaux.

Voûte hémisphérique ou engendrée par une demi-ellipse.

Maçonnage qui cache le joint de deux dalles.

Enduit qui se fait sur une muraille avec du mortier ou du plâtre et qu’on laisse raboteux au lieu de le rendre uni.

Alvéolisation caractérisée par la formation d’une seule alvéole affectant la surface de la pierre à partir de ses arêtes.

Voûte en demi-coupole formant une abside, habituellement assisé ou en tas-de-charge, elle peut également être appareillée en limaçon ou en coquille.

Corbeau en forme de cône ou de pyramide renversée.

Massif de pierres aux deux extrémités d’un pont pour résister à la poussée des arches.

Action de poser des dalles ou des pavés.

Tablette de pierre ou de marbre, de peu d’épaisseur, et destinée à couvrir des terrasses ou à paver des salles, des vestibules, des trottoirs, etc.

Petite dalle.

Petite dalle.

Conduit maçonné permettant l’écoulement des eaux d’un remblai le long d’une route, d’une voie ferrée, etc.

Dégarnir un mur de son chaperon.

Mur déchaussé – Mur dont le fondement est dégradé au rez-de-chaussée, ou dont le fondement est à découvert parce qu’on a fouillé et enlevé les terres de l’ancien sol.

Sorte de marteau à deux taillants, pour écarter les joints dans les démolitions et pour équarrir les trous ébauchés.

Amincir (une pierre), lui enlever une partie de son lit.

Poser une pierre en délit.

Réduire l’épaisseur de.

Action de démaigrir.

Action d’ôter la couche superficielle d’un béton hydraulique.

Enlèvement des piliers réservés dans une couche.

Action de désceller, ou résultat de cette action.

Détacher ce qui est scellé en plâtre, en plomb, etc.

Dispositif assurant le positionnement des armatures dans la construction en béton armé.

Instrument dont se servent les maçons pour corroyer le sable et la chaux.

Dépouiller, avec la pointe du marteau, le bousin, et pénétrer jusqu’au vif.

Ôter le bouzin d’une pierre, d’un moilon, c’est-à-dire, cette partie tendre qui tient autant de la terre que de la pierre.

Couche de salpêtre ou de calcaire qui se forme sur les murs ou sur le sol.

Mortier de scellement du côté des faîtières de la couverture du toit.

Faire les fondations d’un mur.

Remplage chez les Grecs, maçonnerie où les deux surfaces extérieures sont formées de blocs réguliers, l’espace entre ces deux surfaces est comblé avec des matériaux quelconques liés avec du mortier ; des parpaings s’étendent d’une surface à l’autre.

Enduire un mur de mortier.

Appliquer un enduit.

Action d’enduire un mur, une cloison, etc.

Couche de chaux, de plâtre, de ciment, ou de quelque autre matière semblable, que l’on applique sur les murailles.

Faire une haie (avec des briques…)

Qualifie un enduit taloché-feutré.

Sorte de fortification en angle saillant qu’on élève au milieu des courtines, ou devant des portes, pour les défendre.
Ouvrage en pointe qui sert à rompre le cours de l’eau, devant les piles des ponts, ou sur les bords des rivières.
Tout pilier qu’on construit extérieurement d’un mur de terrasse de distance en distance, et qui se lie avec le corps du mur pour tenir la poussée des terres (Contrefort, anciennement contre-fort).

Variante de pigeonner.

Instrument destiné à tracer un angle droit ou la perpendiculaire.

Outil formé d’un dispositif de miroirs permettant de visualiser des jalons placés perpendiculairement.

Perte de la surface originelle de la pierre, entraînant des contours émoussés.

Face des murs en contact avec l’extérieur.

Tailler les parements de la pierre jusqu’au milieu.

S’affaisser.
Ce mur farde, commence à farder : il s’affaisse sous son propre poids.
Dans un ennui que rien ne pouvait divertir, dans la perspective écrasante d’une économie domestique parfaite, ces deux êtres s’affaissaient, comme un mur qui farde sous son propre poids.

Sorte de ferrure qui sert à divers usages et principalement à lier le chambranle d’une cheminée avec le reste de la maçonnerie.
Tige de fer servant d’armature à un ouvrage en plâtre.

Outil permettant de lisser un joint en le passant sur un mortier encore frais.

Faire entrer du mortier dans les joints entre des pierres avec un instrument nommé fiche.

Outil formé d’une masse de plomb fixée à un fil, servant à donner la verticale.

Morceau de bois employé dans les construction en pisé.

Travail que l’on fait pour asseoir les fondements d’un édifice, d’une construction.
Commencer les fondations d’un bâtiment.

Outil de maçon qui sert à détremper la chaux ou le plâtre.
(Maçonnerie) Outil de maçon servant à étaler du plâtre ou de l’enduit.

Délayer du plâtre, du mortier avec de l’eau.

Enduit étanche permettant l’écoulement de l’eau.

Crépir en jetant du plâtre avec la truelle ou la main pour le faire entrer dans les joints des murs de moellon ou de plâtras.

Première couche d’enduit assez granuleux projeté ou appliqué à la brosse sur un mur, qui permet d’avoir une bonne accroche.

Outil d’engin de terrassement sous forme de récipient de forme et de taille variables
Rainure par où l’on fait couler du mortier entre les joints de pierre.

Ensemble des matériaux inertes (cailloux, graviers, sables) qui entrent dans la composition des mortiers et bétons & des grèves pour assises de chaussées

Mesure des dimensions et détermination de la forme des particules et des grains.

Ensemble de petits cailloux servant au revêtement des allées, dans un jardin, etc; (Spécialement) pierres concassées, de diamètres de 1/2 à 4 cm, servant au revêtement des chemins carrossables non asphaltés, et au remplissage de volumes pour lesquels on désire que l’écoulement d’eau soit maximal.

Le gros sable qui sert à faire du béton ou du mortier.

Entretoise en bois, métal, béton ou matière plastique, servant à régler et maintenir l’espacement entre deux banches

Façon de faire se recouvrir les parpaings ou les briques dans les angles d’une construction. Insertion dans la maçonnerie de poteaux métalliques.

Disposer les pierres, les parpaings ou les briques dans un angle.

Sorte d’engin de lissage ou de talochage des chapes et des dalles de béton.

Les enduits sont souvent des impastations.

Élément vertical qui assure l’étanchéité en partie latérale entre le mur et l’ouverture (exemple : cheminée, linteau d’une porte, etc.).
Chaîne de pierre de taille ou de maçonnerie qui soutient l’édifice et sur laquelle on pose les grosses poutres.

Pilier que l’on intercale dans un mur pour le renforcer, notamment sous les poutres.

Début de sa prise et de son durcissement, en parlant d’un matériau à prise hydraulique (béton, plâtre, etc.).

Pour le maçon, face de la pierre en contact.

Joints superposés d’une assise sur l’autre.

Action de jointoyer. Il se dit aussi des pierres jointoyées ou des endroits où les pierres sont jointoyées.

Remplir les joints des pierres avec du mortier ou du plâtre.

Joints disposés de façon à ne pas être superposés d’une assise sur l’autre.

Chevron à mortaise sur lequel on pose et fixe le moule destiné à la construction d’un mur de pisé.

Petite truelle dont la lame est fine et allongée, utilisée pour la confection des joints.

Séparation de quelques pouces d’épaisseur, faite de pierres, de briques ou de plâtre, dans l’intérieur des souches de cheminée, dans un puits mitoyen, etc.

Se fendre, se crevasser.

Mortier, plâtre qui sert à jointoyer les pierres.

Jointer les pierres, les briques d’un édifice, les pavés, etc.
Remplir les joints avec du mortier.
Disposer des briques, des parpaings, des pierres,… de manières à ce que les joints ne soient pas alignées.

Tracer une ligne droite avec un cordeau frotté de craie.

Ouvrage de maçonnerie fait avec des moellons et du mortier.

Action de lisser un ouvrage ; résultat de cette action.

Ouvrage de construction où l’on emploie de la pierre, de la brique, du ciment, du mortier, du plâtre, etc.

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Vocabulaire construction maison

2 Commentaires

Unknown juillet 31, 2019 - 7h54
Qui peut m expliquer le terme marmite en maçonnerie
Dalestin Wilkens mai 23, 2020 - 23h04
Sincèrement, je ne trouve pas un mot plus franc à vous remercier mon Cher Ingénieur pour ce digne travail effectué sur le site internet.Mille fois cent fois mille fois merci ???????????? !!! Ces rappels me valent tellement... ING Wilkens Depuis les Etats unis...
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